Umberto Eco et le fascisme.
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Yo
Je vous met le lien d’un article sur lequel je suis tombé lors d’une de mes érrances sur le net.
https://nospensees.fr/les-traits-psychologiques-du-fasciste-selon-umberto-eco/
Honnêtement j’ai trouvé cet article article assez pertinent et intéressant. Evidemment c’est bien de savoir reconnaître les signes du fascisme ( sans tomber dans la sur interprétation et la paranoïa non plus ). Mais je me suis dit que l’on pouvais nous même entretenir ce genre de pensées sans même en avoir conscience et en pensant ne pas être comme ça. Du coup je me suis dit que c’était bien de pouvoir s’auto analyser. Pour ne pas tomber non plus dans ce genre de pièges. En plus je trouve que le fascisme s’attaque directement aux peurs et aux sentiments primaires et animals. Peurs et rejets de la différence, Rejet de la faiblesse, Agir avant de réfléchir, impulsivité, violence dés qu’il y a contradiction. Ne surtout pas éveiller l’esprit critique évidemment. Il ne faudrait surtout pas que l’on se rendent compte que l’on est complètements manipulés. Car ce genres de mouvements est un terreau fertile idéal pour n’importe quel escroc et manipulateur. C’est d’ailleurs en grande parti pour ça que le fascisme existe je pense. Il y a aussi les oeilleres que ce mouvement impose. Comme le fait de ne surtout pas s’intéresser et rejeter tous ce qui diffère de cette pensé unilatéral et rigide. Un peu comme les autodafés allemands ou des milliers de livres jugés contraires à la morale Allemandes on étaient brûlés. Enfin bref. Après on peut aisément faire des tas de parallèle avec les nazis dans ce topic. Et vous vous en pensez quoi ?
En tout cas j’ai trouvé cette article plutôt utile. -
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire. -
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Merde alors. C’est vrai que niveau cohérence ça laisse à désirer. Je ne cache pas être assez déçu. D’où provient cet extrait ?
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@Sebunken a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Merde alors. C’est vrai que niveau cohérence ça laisse à désirer. Je ne cache pas être assez déçu. D’où provient cet extrait ?
Bah après on peut pas nier que les RS sont des nids à vipères…
Par contre moi ce que je vois de fascisant est quelqu’un qui a le pouvoir (c’est la racine du mot même “les faisceaux du pouvoir”). Un gouvernement qui ne veut pas de contradicteur etcc ça colle assez. Et en effet catégoriser les personnes de manière différentes. Après je pense qu’il ne faut pas qu’on pense le modèle fasciste d’H*itler par exemple, car si cela revient ce sera sous une autre forme, une sorte de néo-fascisme “adaptée” aux techniques actuelles. D’ailleurs une démocratie faible comme maintenant, des médias de mêmes sources etc… c’est assez propice à une tentative. Après quand la démocratie est tellement dénaturée comme elle peut l’être, la violence d’Etat qu’elle génère est fascisante je trouve, c’est dangereux…
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Cette citation est régulièrement utilisée dés que quelqu’un a envie de balancer sa petite crotte de nez sur les réseaux sociaux car il a eu une altercation sur twitter, il balance ça. Je suppose que Umberto Eco lui même a sorti cette phrase après avoir eu une altercation sur twitter, les universitaires adulés IRL ça leur fait tout drole de voir en face d’eux des gens qui leur parle sans baisser les yeux et sans leur faire la révérence…
Bref, je m’égare, comme la citation est souvent invoquée, j’ai pas vraiment idée de sa provenance initiale.Je te remercie Sebunken du texte que tu partages qui est interressant quand même.
C’est un appel à la remise en question, c’est interressant. -
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
Cette citation est régulièrement utilisée dés que quelqu’un a envie de balancer sa petite crotte de nez sur les réseaux sociaux car il a eu une altercation sur twitter, il balance ça. Je suppose que Umberto Eco lui même a sorti cette phrase après avoir eu une altercation sur twitter, les universitaires adulés IRL ça leur fait tout drole de voir en face d’eux des gens qui leur parle sans baisser les yeux et sans leur faire la révérence…
Bref, je m’égare, comme la citation est souvent invoquée, j’ai pas vraiment idée de sa provenance initiale.Je te remercie Sebunken du texte que tu partages qui est interressant quand même.
C’est un appel à la remise en question, c’est interressant.👍
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@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
Cette citation est régulièrement utilisée dés que quelqu’un a envie de balancer sa petite crotte de nez sur les réseaux sociaux car il a eu une altercation sur twitter, il balance ça. Je suppose que Umberto Eco lui même a sorti cette phrase après avoir eu une altercation sur twitter, les universitaires adulés IRL ça leur fait tout drole de voir en face d’eux des gens qui leur parle sans baisser les yeux et sans leur faire la révérence…
Bref, je m’égare, comme la citation est souvent invoquée, j’ai pas vraiment idée de sa provenance initiale.Je te remercie Sebunken du texte que tu partages qui est interressant quand même.
C’est un appel à la remise en question, c’est interressant.J’ai d’ailleurs hélas l’impression qu’en ce moment nous sommes insidueusement sur la pente déscendante.
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@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Cela étant, tu ne peux pas nier le fait que les réseaux sociaux ont ouvert la voie à des pensées réductrices, caricaturales, violentes, xénophobes, homophobes, anti-féministes, racistes, anti-parlementaristes, anti-démocratiques et, d’une façon générale, complètement connes. Si les populistes prospèrent tant aujourd’hui, on ne peut nier que c’est grâce aux réseaux sociaux. À cet égard, le président Trump construit sa politique américaine délirante non devant son congrès mais par des tweets rageurs. Je ne sais pas si Umberto Eco est à l’origine de la phrase que tu cites, il n’empêche que je ne la trouve pas révoltante, loin de là, car elle annonce l’avenir : grâce aux réseaux sociaux manipulateurs et au flot de bêtises, de violence, de crétinisme, de vulgarité et de contre vérités qu’ils véhiculent, nous aurons bientôt le fascisme au pouvoir.
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@Marc1756 a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Cela étant, tu ne peux pas nier le fait que les réseaux sociaux ont ouvert la voie à des pensées réductrices, caricaturales, violentes, xénophobes, homophobes, anti-féministes, racistes, anti-parlementaristes, anti-démocratiques et, d’une façon générale, complètement connes. Si les populistes prospèrent tant aujourd’hui, on ne peut nier que c’est grâce aux réseaux sociaux. À cet égard, le président Trump construit sa politique américaine délirante non devant son congrès mais par des tweets rageurs. Je ne sais pas si Umberto Eco est à l’origine de la phrase que tu cites, il n’empêche que je ne la trouve pas révoltante, loin de là, car elle annonce l’avenir : grâce aux réseaux sociaux manipulateurs et au flot de bêtises, de violence, de crétinisme, de vulgarité et de contre vérités qu’ils véhiculent, nous aurons bientôt le fascisme au pouvoir.
Tu as raison sur le fait sur que les réseaux sociaux véhiculent toutes ces idées connes et nauséabondes. Mais l’inverse est aussi vrai. Presque n’importe qui peut aller sur les réseaux sociaux,t internet et toutes ces plateformes. On peut vraiment trouver le pire comme le meilleur.
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@Marc1756 a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Cela étant, tu ne peux pas nier le fait que les réseaux sociaux ont ouvert la voie à des pensées réductrices, caricaturales, violentes, xénophobes, homophobes, anti-féministes, racistes, anti-parlementaristes, anti-démocratiques et, d’une façon générale, complètement connes. Si les populistes prospèrent tant aujourd’hui, on ne peut nier que c’est grâce aux réseaux sociaux. À cet égard, le président Trump construit sa politique américaine délirante non devant son congrès mais par des tweets rageurs. Je ne sais pas si Umberto Eco est à l’origine de la phrase que tu cites, il n’empêche que je ne la trouve pas révoltante, loin de là, car elle annonce l’avenir : grâce aux réseaux sociaux manipulateurs et au flot de bêtises, de violence, de crétinisme, de vulgarité et de contre vérités qu’ils véhiculent, nous aurons bientôt le fascisme au pouvoir.
Et pourtant, le réseau social est un catalyseur qui fait avancer le négatif mais aussi le positif.
On en parle de MeToo ? On en parle de toute les causes qui ont progressé à pas de géant ? On en parle des mobilisations pour l’environnement ? Des pétitions qui imposent régulièrement un nouvel agenda médiatique ?
La libération de la parole, c’est un catalyseur pour atteindre une société idéale ou on a plus peur de rien car figé dans nos hiérarchie sociale et nos traditions.
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@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Cette phrase, je l’ai relayé par le passé.
Et j’en suis pas particulièrement fier aujourd’hui.
Pour ma défense, c’était il y a plusieurs années, à une époque où les réseaux sociaux avait quelque chose d’une cours des miracles. Beaucoup des premiers à avoir occupé les lieux s’en sont servi pour exprimer haut et fort ce que la vie réelle ne leur autorisait pas de dire. Tout y était décomplexé au possible, les idées les plus extremes et conspi y avait pignon sur rue. Et toute tentative de contradiction était vouée à l’échec. Ce qui me désolait particulièrement.
Aujourd’hui c’est toujours un peu le cas. Néanmoins on a aussi vu s’organiser une forme de réponse. Beaucoup de gens se sont mobilisés, organisés pour répondre à la bétise omniprésente, rétablir une forme de débat et surtout d’équilibre dans tout ce merdier.
Parce qu’à une époque, être une fille et tenter de trouver sa place en ligne comme consultante aérospatiale, politique ou journaliste, ça devait être dur. Je dis pas que c’est devenu simple. Mais il y a néanmoins eu des changements encourageant dans ce sens.
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@Marc1756 a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
@Carcha a dit dans Umberto Eco et le fascisme. :
« Les réseaux sociaux ont généré une invasion d’imbéciles qui donnent le droit de parler à des légions d’idiots qui auparavant ne parlaient qu’au bar après un verre de vin, sans nuire à la communauté et ont maintenant le même droit de parler qu’un Prix Nobel: C’est l’invasion des imbéciles »
Pour cette phrase, cette homme récolte le mépris éternel de ma part.
Ca les fait chier que le peuple ait un lieu d’expression égalitaire ou la position sociale ne compte pas.
Et après ça veut donner des leçons sur le fachisme, mais laissez moi rire.Cela étant, tu ne peux pas nier le fait que les réseaux sociaux ont ouvert la voie à des pensées réductrices, caricaturales, violentes, xénophobes, homophobes, anti-féministes, racistes, anti-parlementaristes, anti-démocratiques et, d’une façon générale, complètement connes. Si les populistes prospèrent tant aujourd’hui, on ne peut nier que c’est grâce aux réseaux sociaux. À cet égard, le président Trump construit sa politique américaine délirante non devant son congrès mais par des tweets rageurs. Je ne sais pas si Umberto Eco est à l’origine de la phrase que tu cites, il n’empêche que je ne la trouve pas révoltante, loin de là, car elle annonce l’avenir : grâce aux réseaux sociaux manipulateurs et au flot de bêtises, de violence, de crétinisme, de vulgarité et de contre vérités qu’ils véhiculent, nous aurons bientôt le fascisme au pouvoir.
Utiliser le terme populiste quand on est un bourgeois c’est donner raison aux fascistes qui se disent se réclamer d’un peuple qui en soit n’existe pas ou n’a pas corps.
Quant à parler des populistes de gauche, c’est un peu comme si on décidait que la pensée de gauche qui vise à reprendre le pouvoir en tant que classe majoritaire de la population était en dehors du prisme de réflexion.Quant aux réseaux sociaux, ils permettent aussi de propager l’information, la zététique, la démocratie, la connaissance même à ceux qui à la base de part leur extraction sociale n’y était pas destiné… et ça, ça fait probablement chier le bourgeois.