Tolkien
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Un film racontant la jeunesse de J. R. R. Tolkien (auteur du Hobbit et du Seigneur des anneaux)…
Le film sortira le 19 juin 2019 en France.
Ça éveille votre curiosité ? Vous irez le voir ? -
A priori les biopics c’est vraiment pas du tout ma came… maaais ce teaser m’a donné envie !
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J’aime beaucoup les biopics donc oui, j’espère pouvoir voir celui ci, un écrivain extraordinaire.
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Nicholas Hoult est un mauvais choix de casting selon moi, mais ça n’empêchera pas le film d’être sympathique.
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Je pense que j’irai le voir.
Je m’étais abreuvé de la vie du Professeur à l’époque de l’adaptation au cinéma de sa trilogie mythique ; j’avais été fasciné par ses influences, les épreuves traversées, les joies, les deuils, toutes ces petites anecdotes qui ont forgé la Terre du Milieu.
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J’ignore si ce film retracera toute sa vie, ou ne se concentera que sur sa jeunesse.
Dans ce second cas, j’aimerais voir le film se clore sur Tolkien, à son bureau, s’emmerdant à corriger des copies et, trouvant une page blanche, attrape alors sa plume et y griffonne cette simple phrase :
In a hole in the ground there lived a hobbit.
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Je veux le voir, j’aurais voulu avoir son talent d’invention.
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En attendant c’est marrant d’aller reconnaitre les references à ses oeuvres qui se cachent dans ce trailer.
Telperion et Laurelin, les deux arbres dont la lumière donnera les Silmarils.
“Se couper de l’actualité pour ne pas devenir une boule de haine”
Manu Larcenet.
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@peri Haha je suis heureux de ne pas être le seul à avoir pensé à cette référence !
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j’aimerais voir le film se clore sur Tolkien, à son bureau, s’emmerdant à corriger des copies et, trouvant une page blanche, attrape alors sa plume et y griffonne cette simple phrase :
In a hole in the ground there lived a hobbit.
Telperion et Laurelin, les deux arbres dont la lumière donnera les Silmarils.
combo de
, je découvre la signification du pseudo de @Silmaril (pardon si elle l’a déjà dit plein de fois). -
@oranginita J’ai glissé son pseudo exprès. ^^
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Ca y est en fait, je sais à quoi ce trailer me fait un peu penser dans l’esprit.
Au court métrage “George Lucas in Love”
On y retrouve cette idée des influences et de l’imaginaire, évocatrices de l’oeuvre en devenir, et qui s’invitent dans le quotidien du futur créateur. Même si c’est bien plus humoristique dans GLIL.
