Cinema Paradiso
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À Rome, à la fin des années 1980, Salvatore vient d’apprendre la mort de son vieil ami Alfredo. Par cette nouvelle, c’est toute son enfance qui remonte à la surface : son village natal, en Sicile, quand on l’appelait Toto et qu’il partageait son temps libre entre l’église (où il était enfant de chœur) et la salle de cinéma paroissiale, où régnait Alfredo, le projectionniste qui, au travers des films qu’il projetait, lui apprenait la vie.
Un très beau qui a obtenu en 1990 l’Oscar du meilleur film étranger. Je l’ai vu pour la première fois à l’âge de 10 ans et j’ai toujours autant de plaisir à le revisionner. Il se dégage une atmosphère apaisante et nostalgique.
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Bon souvenir de cette réalisation que j’ai vue une paire de fois. Et puis, il y avait l’irrrrremplaçable Philippe Noiret…