Super Mario Sunshine
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Super Mario Sunshine est un jeu vidéo de plates-formes sorti en 2002 sur Nintendo GameCube.
C’est le deuxième épisode en 3D de la série Super Mario après l’illustre Super Mario 64, et le premier introduisant l’île Delfino et les personnages de Papy Champi et Bowser Jr., fils de l’antagoniste de la série.
L’histoire
Mario part en vacances sur la paradisiaque île Delfino avec Peach, Papy Champi et Toad.
Cependant, l’arrivée ne se passe pas comme prévu : une étrange substance a pris possession de la piste d’atterrissage de l’aéroport de l’île, et bien vite nos héros comprendront que celle-ci a été mise sens dessus dessous par un personnage ressemblant comme deux gouttes d’eau à Mario…
La police locale arrêtera Mario, désigné comme le responsable du désordre bien qu’à peine arrivé, et sera condamné à nettoyer l’île.
Un malheur ne venant jamais seul, Peach sera enlevée par le mystérieux faux-Mario, Antimario qui se révèlera être Bowser Jr., fils de l’ennemi juré du moustachu.
Le gameplay
C’est un jeu de plates-formes dans la pure lignée des Mario, cette fois aidé d’un appareil semblable à une pompe à eau nommé J.E.T. (ou F.L.U.D.D.), invention du professeur K. Tastroff apparu dans Luigi’s Mansion.
En sus des mouvements spécifiques à J.E.T. et ses 4 buses interchangeables, la palette de mouvements de Mario est presque identique à celle de Super Mario 64.
Vous y avez déjà joué ?
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Oui à l’époque, mais je n’en ai pas un souvenir impérissable. Je lui ai largement préféré Galaxy.
Parcontre je lui donnerais bien une autre chance sur un émulateur Switch !
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Une oeuvre fondatrice qui dénonce les républiques bananière ou la justice est partiale et les procès expéditif. Mario est ainsi condamné sans que les arguments de l’avocate de la défense Peach ne soient entendus. C’est également un plaidoyer pour l’écologie et la protection de l’environnement.
C’est également un véritable thriller familiale avec un père abusif qui ment à son fils sur l’identité de sa mère biologique, plongeant ce dernier dans la delinquance. Le pere est alors tourmenté jusqu’à la toute fin du récit par ce lourd secret de famille… Très poignant.
Une oeuvre marquante pour son propos profond et engagé en somme, et sinon le gameplay est cool.
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Ah ça oui, contrairement à Mario Galaxy que je trouve moins bon, Super Mario Sunshine à bercer mon enfance avec le cultissisme 64. J’avais un peu l’impression de jouer à une meilleure version de ce jeu et n’hésite pas à ressortir la console pour y rejouer quand l’envie se montre.
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Je l’ai fait et refait dans tous les sens, même si pendant des années (oui, des années) j’étais bloquée au premier niveau de l’hôtel, avec les raie manta fantôme. J’y joue encore de temps en temps ^^.
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@sylareen C’est l’enfer ce boss. Par rapport à la moyenne des Mario, Sunshine est super dur je trouve, y a des soleils qui sont des vraies tortures à avoir, quant au monde final je l’ai jamais réussi à cause du bateau qui fait pleurer des larmes de sang à manœuvrer.
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Le Mario des vacances, de la bonne humeur, et des ennemis aux couleurs chatoyantes !
Comme Jool s’il ressort sur Switch en version émulée (mais avec des gâchettes non analogiques j’ai peur que ce soit un gros non venant de chez Nintendo…) ce sera du instabuy.
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@keysersöze a dit dans Super Mario Sunshine :
Le Mario des vacances, de la bonne humeur,
…quand soudain :
Et encore il manque plein de secret levels, ceux où on n’a pas la pompe (la tour de Ricco Harbor, le shell secret de Noki Bay…)
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Pendant ce temps :
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@honey a dit dans Super Mario Sunshine :
Et encore il manque plein de secret levels, ceux où on n’a pas la pompe (la tour de Ricco Harbor, le shell secret de Noki Bay…)
Argh… Les niveaux de la souffrance…
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@akuma-no-rukia Le putain d’oiseau de sable !
…j’ai envie de refaire Super Mario Sunshine.
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@honey
Je l’ai en émulation, je peux y jouer quand je veux.
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J’ai toute ma ludo gamecube chez moi.