C’est surtout que je n’ai pas un etat d’esprit “militant”, d’une part, et que je me place du côté “global” de la planète, où les écosystèmes se sont adaptés à des situations bien autrement “difficiles”.
Je me mets donc pas la rate au court bouillon : je m’en fiche.
Le temps de la planète n’est pas le temps humain.
Ça ne va pas m’empêcher de planter des arbres au printemps, ni de semer des fleurs et des légumes en permaculture, ni de réduire mes dechets, ni de démarrer la pousse d’autres arbres avant plantations. Pour mon côté “perso” et pas pour l’environnement encore moins pour la planète.